“Lettre ouverte à Madame PARGALA Conseillère municipale de Lourdes demeurant à Azereix :
Madame, je suis particulièrement flatté que ma “piètre” personnalité retienne votre attention.
Il est vrai que Lourdes actu m’a interviewé suite au Conseil municipal du 14 avril 2021 sur la question du stationnement du fait que j’avais été élu à la Sécurité et à la circulation lors de la précédente mandature.
Pourquoi Lourdes-actu ne vous a pas interviewé sur vos propos concernant le stationnement et l’emploi des ASVP et Policiers municipaux ? Sans doute faudrait-il d’abord que vous commenciez à inviter ce média, que votre liste électorale avait blacklisté lors de la campagne des élections municipales et encore actuellement. Bien que vous n’acceptez pas ce média comme tel, il prouve qu’il existe et qu’il a une notoriété certaine. Est-ce cela votre conception du journalisme et du pluralisme de la presse ? Auriez-vous peur de répondre à des questions embarrassantes ?
Dans votre droit de réponse vous portez des accusations à mon encontre prétextant que ce que j’explique dans l’interview est faux. Or tout ce que je dis peut vous être confirmé par la Municipalité et la Cheffe de la Police municipale notamment au niveau des effectifs des ASVP et des policiers municipaux. Je ne comprends pas votre précipitation à envoyer un droit de réponse sans avoir été au préalable aller chercher « l’info à la source » auprès des personnes compétentes, comme je l’ai fait moi-même. Et au lieu de nous sortir les chiffres de la ville de Toulouse il aurait mieux valu que vous connaissiez ceux de la ville où vous êtes élue.
D’autre part vous vous permettez de m’insulter en des termes tels que “ triste sire” et “adjoint à la matraque” qui couraient sur les réseaux sociaux du temps où j’étais un élu, que j’acceptais bon gré mal gré en tant que personne publique en butte à quelques hostilités habituelles vis-à-vis des politiques, mais que je ne vous autorise pas à reprendre aujourd’hui car je ne suis qu’un citoyen ordinaire et cela relève de l’insulte.
Quant aux ambitions électorales que vous me prêtez, je vous laisse seule juge de vos supputations. C’est sans doute de cette supposition que vient votre agressivité à mon égard.
Je vous prie de croire, Madame, à mes salutations républicaines. »
Philippe SUBERCAZES