Enquête interne ouverte après l’évasion du « cannibale des Hautes-Pyrénées » ce mercredi 19 janvier.
Une évasion de l’Hôpital Psychiatrique Marchant de Toulouse qui n’aura duré que quelques heures.
Une durée suffisante pour que ce dernier agresse une femme âgée, qui promenait son chien dans le quartier des Chalets, avec un manche à balai.
Cet ancien militaire devenu schizophrène avait tué en 2013 un nonagénaire à Nouilhan dans les Hautes-Pyrénées. Il avait ensuite mangé la langue et le cœur de sa victime.
A l’époque, il avait reconnu les faits et expliqué avoir entendu des voix et avoir obéi à «un message d’origine supérieure». Il estimait alors qu’’il était en mission. Cet ancien militaire avait été traumatisé par un séjour en Afghanistan.