Ce mardi 18 mai 2021, la Ville de Lourdes et le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) des Hautes-Pyrénées ont signé au Palais des congrès le renouvellement de la Convention cadre qui lie ces deux entités et qui concerne 5 sapeurs-pompiers volontaires employés par la mairie de Lourdes.
Et c’est en présence de Monsieur Thierry LAVIT, maire de Lourdes, de Monsieur Bernard POUBLAN, président du SDIS, du colonel Arnaud FABRE, directeur du SDIS et du capitaine DOUBLET chef de corps des sapeurs-pompiers de Lourdes que fut signée cette convention alors que dans l’assistance on notait la présence du sous-préfet d’Argelès Gazost, monsieur Didier CARPONCIN et du capitaine Marie Pierre TOUSTARD…
Les bénéficiaires de cette convention sont les lieutenants André GAGOT, Pierre DOUCET, les sergents Eric QUESSETTE, Simon Thomas TROPHIME et Luc LALUBIE..En marge de cette signature entre la ville de Lourdes et le SDIS, Monsieur Thierry LAVIT, après avoir rappelé l’intérêt de ce partenariat, tint également à souligner l’engagement fort qu’il prit lors de la campagne électorale auprès des sapeurs-pompiers qualifiés de soldats du feu et de l’impossible vis à vis de la construction de la nouvelle caserne des pompiers et de son engagement d’aller chercher une subvention à hauteur de 1,7 million d’euros qui aujourd’hui est actée dans le montage financier.
Cette subvention et la péréquation territoriale voulue par la Ville de Lourdes permet à toutes les petites communes contributives au financement de cette caserne de réduire leur part et de bénéficier d’un allègement participatif non négligeable en ces périodes où les budgets des communes sont de plus en plus serrés.
Rappelons que la participation exceptionnelle de l’État à hauteur de 49 %, du financement de la caserne, outre la volontariste bataille menée par le maire de Lourdes auprès de nos financeurs habituels, a pu atteindre ce niveau au titre du Plan de Relance et des aides dont notre ville a pu bénéficier.
On ajoutera que Monsieur Thierry LAVIT, qui pour faire taire certaines rumeurs en provenance de milieux mal intentionnés, a une nouvelle fois précisé que le terrain sur lequel allait être édifiée la caserne n’était pas inondable.
Ajoutant, en outre, qu’il serait également très exigeant en imposant une charte sur l’environnement afin que cette construction se fasse sous les meilleurs auspices tant au niveau des nuisances visuelles que des modalités de fonctionnement.
J.A.